Tweet Share Messenger Face à la crise générale actuelle en Tunisie, l’auteur essayera de démontrer dans le présent article et à travers une série d’articles qui vont suivre, que le développement d’une économie verte, inclusive et durable autour de l’hydrogène vert pourrait apporter des réponses à des problématiques aussi éparses que la dette extérieure, le déficit de la balance de commerce extérieure, le déficit énergétique, le stress hydrique, la fuite des cerveaux, le chômage des diplômés du supérieur, la pollution, la saturation des décharges publiques, etc. L’espoir est que notre administration, qui manque de vision, d’intelligence économique et de veille technologique, ne rate pas encore une fois un développement majeur potentiellement porteur de chances inouïes pour le pays. Par Ing. Chokri Aslouj * Depuis l’avènement de la révolution du peuple en Tunisie, en 2011, et de la liberté d’expression qui allait s’ensuivre, j’étais en toute modestie parmi ceux qu...